La décision de rédiger et de publier ce document, même après la longue fièvre électorale, répond à un impératif très simple : vaincre la culture de l’oralité et exprimer la vision qque les attentes de la population sont nos engagements, parce que nous avons de sérieuses raisons d'être candidat, nous avons jugé bon de les énumérer dans le présent document au vu et au su de tout le monde pour que quiconque voudra s’adonner aux tâches de développement puisse y trouver une matière première à transformer.
A quoi ça sert de prétendre diriger une cité sans avoir une ui sous-tend notre leadership. Parce vision claire, une destination certaine de l’action politique, même locale ? Absolument rien. Lorsqu’on n’a aucune idée de la destination souhaitée, on n’y arrive jamais, on devient un voyageur dans le brouillard. Non ! Nos populations nous sont trop chères pour que nous prenions le risque de les faire voyager dans le brouillard.
Loin de prendre en compte toutes les dimensions du développement de Cococodji, le présent document peint un tableau sommaire des maux qui minent le quartier en même temps qu’il propose des pistes de solutions. « Cococodji, mon amour » est un coup de cœur envers une ville qui a tout pour rayonner mais qui se plait à s’appeler village.
La publication même au lendemain des élections nous semble opportune d’une part afin de réitérer nos engagements à nos mandants et d’autre part d’élever le niveau du débat relatif à l’élection des membres du bureau du conseil de village puis du partage des responsabilités en son sein. En lieu et place des tiraillements et querelles de personnes et d’intérêts égoïstes, nous avons pensé qu’on ferait mieux de s’adonner aux véritables préoccupations de nos électeurs.
Je m’en voudrais de ne pas remercier tous ceux qui de près ou de loin ont contribué à la prééminence de l’engagement citoyen et patriotique sur la fatalité en votant pour nous.
A quoi ça sert de prétendre diriger une cité sans avoir une ui sous-tend notre leadership. Parce vision claire, une destination certaine de l’action politique, même locale ? Absolument rien. Lorsqu’on n’a aucune idée de la destination souhaitée, on n’y arrive jamais, on devient un voyageur dans le brouillard. Non ! Nos populations nous sont trop chères pour que nous prenions le risque de les faire voyager dans le brouillard.
Loin de prendre en compte toutes les dimensions du développement de Cococodji, le présent document peint un tableau sommaire des maux qui minent le quartier en même temps qu’il propose des pistes de solutions. « Cococodji, mon amour » est un coup de cœur envers une ville qui a tout pour rayonner mais qui se plait à s’appeler village.
La publication même au lendemain des élections nous semble opportune d’une part afin de réitérer nos engagements à nos mandants et d’autre part d’élever le niveau du débat relatif à l’élection des membres du bureau du conseil de village puis du partage des responsabilités en son sein. En lieu et place des tiraillements et querelles de personnes et d’intérêts égoïstes, nous avons pensé qu’on ferait mieux de s’adonner aux véritables préoccupations de nos électeurs.
Je m’en voudrais de ne pas remercier tous ceux qui de près ou de loin ont contribué à la prééminence de l’engagement citoyen et patriotique sur la fatalité en votant pour nous.
L'auteur